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vendredi 3 janvier 2014

AMÉRICA LATINA 1960-2013

Du 19 novembre 2013 au 6 avril 2014, la Fondation Cartier pour l’art contemporain présente América Latina 1960-2013, en coproduction avec le Museo Amparo de Puebla (Mexique). L’exposition offre une perspective nouvelle sur la photographie latino-américaine de 1960 à nos jours, à travers le prisme de la relation entre texte et image photographique.
Rassemblant plus de soixante-dix artistes de onze pays différents, elle révèle la grande diversité des pratiques photographiques en présentant aussi bien le travail de photographes que des œuvres d’artistes contemporains.
Cette exposition, véritable plongée dans l’histoire du sous-continent latino-américain, nous invite à (re-)découvrir des artistes majeurs rarement présentés en Europe.
 
 Lien vers l'exposition :

samedi 17 septembre 2011



"Juan Gris, rimes de la forme et de la couleur", au musée Paul Valéry de Sète jusqu'au 31 octobre 2011 : http://museepaulvalery-sete.fr/juan_gris_rimes_de_la_forme_et_de_la_couleur.php


Consacrée à l’œuvre de Juan Gris, cette exposition, qui présente un aspect moins connu de l’œuvre du peintre (de 1916 à 1927), a pour propos de mettre en évidence le rôle particulier, et singulier, qui a été celui de l’artiste dans une esthétique cubiste qu’il a su renouveler en apportant à l’entreprise initiée par ses deux illustres prédécesseurs, Picasso et Braque, une dimension à la fois intellectuelle et constructive.
« Arrivé à Paris à l’automne 1906, Juan Gris, qui a pu obtenir un atelier au Bateau-Lavoir grâce à Picasso, assiste à la naissance du cubisme. Il voit s’élaborer, dans les dernières années de la première décennie du XXe siècle, la première phase du cubisme qui sera par la suite qualifiée d’analytique et dont il va à son tour assimiler les innovations en y apportant sa propre vision. Une vision relevant d’une approche intellectuelle et plastique qui le conduit à une synthèse personnelle et qui lui attribue une place essentielle dans l’élaboration de la seconde phase du cubisme, dite synthétique.
C’est cette seconde phase, qui prend pleinement sa dimension chez Gris pendant les années de la Première guerre mondiale, que retient cette exposition. Après un bref rappel de la période antérieure, elle propose un éclairage du rôle particulier de l’artiste dans l’évolution de l’esthétique cubiste, le langage plastique qui a été le sien, le caractère singulier de sa démarche. Car si Juan Gris enrichit de sa propre personnalité l’expérience de la décomposition analytique du motif, il n’aura de cesse de chercher à atteindre une perfection de l’équilibre entre la référence au réel et une architecture de l’œuvre ayant ses propres lois, son propre langage. La synthèse s’opère chez lui par un dépouillement de plus en plus marqué, par une respiration nouvelle d’un espace souvent fermé chez les peintres cubistes, par un éclatement de la couleur tout à fait atypique dans l’esthétique cubiste, par une sensibilité personnelle qui le conduit à observer la vie intérieure de chacun de ses sujets. Ainsi l’intellectualisation qui anime sa démarche, et qui a parfois été qualifiée de « froideur », accorde-t-elle une large place à la sensualité plastique. Ce côté sensible et sensuel qui, je pense, doit exister toujours, je ne lui trouve pas de place dans mes tableaux , écrivait-il en 1915 à son marchand Daniel-Henry Kahnweiler, témoignant très tôt d’une préoccupation qui le fit recourir à maintes reprises à une terminologie poétique lorsqu’il parlait de sa peinture. Dans un de ses textes publié dans L’Esprit Nouveau en 1921, il précisait son désir d’humaniser la peinture et expliquait ses recherches en se référant à Cézanne : Cézanne d’une bouteille fait un cylindre, moi […] d’un cylindre je fais une bouteille, une certaine bouteille. Cézanne va vers l’architecture, moi j’en pars. C’est pourquoi je compose avec des abstractions (couleurs) et j’arrange quand ces couleurs sont devenues des objets. Par exemple, je compose avec un blanc et un noir et j’arrange quand ce blanc est devenu un papier et le noir une ombre ; je veux dire que j’arrange le blanc pour le faire devenir un papier et le noir pour le faire devenir une ombre. Cette peinture est à l’autre ce que la poésie est à la prose.» L’exposition réunit des œuvres de provenances internationales, qu’il s’agisse de collections publiques ou de collections particulières (Etats-Unis, Espagne, Suisse, Israël, Japon, France…).
Elle est accompagnée d’un catalogue réunissant notamment des essais de plusieurs auteurs spécialistes du peintre et du cubisme (Ithzak Goldberg, Patrick-Gilles Persin) ainsi que de Maïthé Vallès-Bled, directrice du Musée Paul Valéry et commissaire de l’exposition.

dimanche 17 octobre 2010

Carmen Maura s'affiche


 Le Corum, hall niveau 0, du 22 au 30 octobre 2010.

Pour une carrière qui fait des étincelles, les affiches de films sont des jalons commodes. Ils disent beaucoup sur ceux qui y figurent et en disent pas mal sur les époques traversées. 
Dans « affiche de cinéma » il faut bien lire l'art de l'affiche et l'art du cinéma. Disons que l'art de l'affiche qui accompagne Carmen Maura artiste de cinéma est un art de la couleur, du mouvement et du pétard pas mouillé… 
L'exposition proposée au Corum avec la collaboration de l'Institut Jean-Vigo de Perpignan en témoigne. Carmen Maura, comme belle image et comme lumineuses portes ouvertes sur nos souvenirs de cinéma…
En collaboration avec l'Institut Jean-Vigo.


lundi 5 avril 2010

Semaine culturelle des amitiés franco-colombiennes



Les Amitiés Franco-Colombiennes vous donnent rendez-vous le 9 avril à partir de 18h30 pour l'inauguration de l'exposition des peintres Maria Fernanda Zuluaga et Luis Hernando Giraldo à la Salle Guillaume de Nogaret (Espace Pitot).
Exposition ouverte les 10, 11, 12 et 13 avril de 14h à 19h.

Clôture de la semaine culturelle le 13 avril à partir de 18h30 avec la conférence sur l'art colombien du peintre Heriberto Quadrado Cogollo.
programme complet: http://afcm.free.fr/

lundi 9 novembre 2009

Semaine cubaine à Montpellier


Du 9 au 15 novembre 2009
Semaine cubaine "Identité et réalités de Cuba à travers son cinéma" à Montpellier

A l’occasion du cinquantième anniversaire de la création de l’Institut Cubain de l’Art et de l’Industrie Cinématographiques, la Ville de Montpellier, en partenariat avec l’association Montpellier Cuba Solidarité propose une approche des réalités cubaines, à travers la projection de documentaires et de longs métrages à la Salle Rabelais et au Cinéma Diagonal.

Une exposition sur ce thème sera présentée à la Maison des relations internationales, du 9 au 13 novembre 2009. Le vernissage aura lieu le mardi 10 novembre à 18h30.

Programme PDF: http://www.cinemed.tm.fr/UserFiles/File/SemaineCineCubain.pdf