11-13 décembre Festival du cinéma "Gran Caribe"

5ième édition du Festival « Regard sur le Cinéma Gran Caribe »

09/12/2009

Montpellier :: Nimes :: Perpignan

Salle Rabelais – du 11 au 13 déc. 2009

L’association Amitiés Franco-Colombiennes propose une programmation originale de fictions et documentaires de la cinématographie régionale des « Grandes Caraïbes », en sélectionnant des œuvres de réalisateurs colombien, guatémaltèque, vénézuelien, nicaraguayen, cubain et mexicain.

Tout au long de cette manifestation, des rencontres seront organisées à la suite des projections. Les festivaliers sont invités à rejoindre la table ronde Le documentaire, entre témoignage et création, avec Jacques Arlandis, producteur, et Éric Flandin, réalisateur de L'homme au serpent le samedi 12 décembre à 18h30.
Avec cet événement culturel, l'association s'attache à présenter de manière générale les différents courants artistiques de cette région latino-américaine peu connue du grand public et à découvrir absolument. L'objectif est de dynamiser et pérenniser les échanges culturels grâce, en particulier, au partenariat avec le renommé Festival International de Cinéma de Cartagena et l'étroite relation qu'il entretient avec le Cinemed.

Toute la programmation :

Programme_Festival_Regard_sur_le_cinema_Gran_Caribe.pdf

Alfons Cervera à l'UPV

L'écrivain espagnol Alfons Cervera, auteur de nombreux romans parmi lesquels Maquis, El color del crepúsculo,et le très récent Esas vidas sera à l'université Paul Valéry Mardi 1er décembre à 18h en salle C020. L'auteur parlera de son oeuvre et du roman de la mémoire en Espagne.

Page officielle de l'écrivain: http://www.uv.es/cerverab/

La religieuse portugaise

La religieuse Portugaise

Eugène Green

“A Religiosa Portuguesa”
Portugal, 2009, 2h04, avec Leonor Baldaque, Beatriz Batarda, Camané, Carloto Cotta, Diogo Dória, Aldina Duarte, Adrien Michaux, Ana Moreira, Francisco Mozos...

Dans la filiation de Robert Bresson ou d’Alain Cavalier, ce film, totalement original au demeurant, nous arrache immédiatement au temps ordinaire par un artifice qui pourrait être insupportable d’affectation, imposant aux acteurs un débit de paroles lent et presque hagard relevant d’une sorte de distanciation rituelle. Or ce parti pris s’inscrit le plus naturellement du monde dans la démarche du réalisateur, qui regarde et montre ses personnages comme des êtres uniques et beaux, engagés dans un conte existentiel mystérieux.
Le prétexte narratif est le tournage, à Lisbonne, d’une variation sur Les lettres portugaises, texte français du XVIIe siècle évoquant la passion charnelle d’un officier français et d’une nonne. Débarquant de Paris à Lisbonne, Julie, actrice française lusophone (Leonor Baldaque) retrouve son metteur en scène (incarné par Eugène Green lui-même) et l’acteur unique dont elle devient l’amante pour une nuit. Au fil de rencontres à la fois imprévisibles et comme écrites par la main du Destin (notamment un enfant abandonné et un aristocrate qu’elle sauve du suicide) la protagoniste, coutumière des passions malheureuses, approche de sa vérité au moment où elle rencontre «la» religieuse portugaise incarnée, qui passe toutes ses nuits à veiller. Rien pourtant d’un mysticisme conventionnel dans ce voyage au bout des apparences, qui n’a d’autre destination, à travers le lumineux labyrinthe de Lisbonne, que la vie, la présence à la vie, la révélation de la vie dans sa plénitude d’amour en toutes ses modulations.
Merveilleusement pictural et traversé par la mélancolie de la saudade du fado à l’état pur, ce film étrange et doux, lesté d’un humour un peu fou et d’une totale fermeté plastique, confirme le talent hors pair d’un réalisateur consacré dès son premier film, « Toutes les nuits », avec le Prix Delluc 1999.

Horaires disponibles sur le site du Diagonal http://www.cinediagonal.com/

LA NANA

(La Bonne) Sebastian SILVA - Chili 2009 1h35mn VOSTF - avec Catalina Saavedra, Claudia Celedon, Alejandro Goic, Andrea Garcia-Huidobro, Mariana Loyola... Scénario de Sebastian Silva et Pedro Peirano. FESTIVAL de SUNDANCE 2009 : Grand Prix du Jury, meilleur film étranger Prix spécial du Jury, meilleure actrice - FESTIVAL de PARIS 2009 Prix du Public.

Du 28/10/09 au 01/12/09

Ne perdez pas une minute, venez vite faire connaissance avec Raquel, et avec sa formidable interprète, l'incroyable Catalina Saavedra ! Raquel, c'est la boniche qui fait partie de la famille, « la nana » en espagnol, celle qui torche les gosses, leur donne le biberon, leur fait les tartines du goûter au retour de l'école, brique la maison, sert le repas avec ponctualité et discrétion, taciturne autant qu'impeccable… Et tout ça depuis si longtemps que personne n'imagine qu'elle puisse partir un jour ou avoir des états d'âme. On ne la confond tout de même pas avec la famille, parce qu'elle n'oublie jamais son rang, mais depuis 23 ans chez les Valdès, bourges pur jus issus de la meilleure société de Santiago, elle a droit a des égards certains et, Madame y tient, personne ne loupe son anniversaire… Sûre d'être indispensable, elle n'est pas vraiment commode et ce n'est pas très facile de deviner ce qui lui ferait plaisir, et si même elle sait ce que le mot plaisir veut dire. D'autant que, si elle a ses préférés (le garçon ado de la fournée), elle ne rate pas une occasion de faire la tête à qui la défrise…

23 ans chez les Valdès donc… Si elle flirte, c'est uniquement avec la quarantaine, et elle ne sort guère de cette demeure bourgeoise où elle a toujours eu sa chambre, enfermée dans son labyrinthe mental dont on n'imagine pas qu'elle puisse s'échapper, pas plus que de cette maison où elle tourne en rond, toujours tirée à quatre épingles avec son petit col blanc.
Quand sa patronne prétend embaucher une autre domestique, histoire d'alléger son travail à la suite d'un petit malaise, Raquel va donc inévitablement prendre un sacré coup d'angoisse : serait-ce qu'elle ne ferait plus l'affaire, qu'elle aurait déplu ? Cette famille est sa seule famille et aucune intruse ne saurait venir chambouler ses armoires ! Pas vraiment son genre d'argumenter, de protester ouvertement, obéissante quoi qu'il arrive, mais chaque fois qu'une nouvelle venue va tenter de s'implanter sur son territoire, la Raquel va lui tendre mille petits pièges sournois, jusqu'à ce qu'elle prenne ses jambes à son cou avec horreur… Si bien qu'une forme de tension va s'installer dans la famille qui ne sait trop par quel bout la prendre… C'est qu'elle est inquiétante, la Raquel… D'ailleurs nous mêmes on serre les fesses, et bien que rigolotes, ses petites stratégies hostiles nous filent le frisson. On se demande même si on ne va pas basculer tout à coup dans quelque chose de fantastique tant le climat tangue, non sans humour, entre paranoïa et claustrophobie.

Raquel trouvera- t-elle une Ariane pour lui tendre le fil qui lui permettra de s'échapper de cette vie étouffoir ? Ou bien sombrera-t-elle dans le gouffre de folie au bord duquel elle semble tituber ? Eh ben ! Vous le saurez en venant voir ce petit régal chilien désigné « Meilleur film étranger » au festival de Sundance qui, comme chacun le sait, est un festival qui a l'œil gourmand et la curiosité fertile. Mais je rassure les craintifs : vous pouvez venir de bon cœur, le pire n'est jamais sûr, rien n'est jamais vraiment définitif et il arrive parfois que des courants d'air salvateur et frais viennent faire battre portes et fenêtres… mais chut !

Salles : cinéma Utopia

Horaires disponibles sur le site d'Utopia http://www.cinemas-utopia.org/montpellier/

Semaine cubaine à Montpellier

Du 9 au 15 novembre 2009
Semaine cubaine "Identité et réalités de Cuba à travers son cinéma" à Montpellier

A l’occasion du cinquantième anniversaire de la création de l’Institut Cubain de l’Art et de l’Industrie Cinématographiques, la Ville de Montpellier, en partenariat avec l’association Montpellier Cuba Solidarité propose une approche des réalités cubaines, à travers la projection de documentaires et de longs métrages à la Salle Rabelais et au Cinéma Diagonal.

Une exposition sur ce thème sera présentée à la Maison des relations internationales, du 9 au 13 novembre 2009. Le vernissage aura lieu le mardi 10 novembre à 18h30.

Programme PDF: http://www.cinemed.tm.fr/UserFiles/File/SemaineCineCubain.pdf

La vida loca, Christian Poveda

Mexique, film documentaire, 1h30

Diagonal Capitol. A partir du Jeudi 29 octobre. http://www.cinediagonal.com/




On les appelle les Maras. Construits sur le modèle des gangs de Los Angeles, ces groupes de jeunes sèment la terreur dans toute l’Amérique Centrale. Nouveau fléau mondial qui détruit par la violence aveugle les principes démocratiques et condamne à mort une jeunesse privée de tout espoir d’avenir.Sans jugement aucun, Christian Poveda donne ainsi à voir la réalité d’une population étouffée par ses propres habitudes et une pression policière toujours plus présente. Empêchant les uns d’aller travailler, condamnant dès lors le moindre effort pour monter une entreprise stable. Car à trop vouloir en finir avec la violence par l’utilisation de la force, l’institution policière ne fait en réalité qu’envenimer les choses, comme un cercle vicieux dans lequel personne n’est vraiment prêt de s’en sortir.Alors, il reste le gang, sorte de refuge pour les plus faibles, comme une micro société dans laquelle chacun pourrait évoluer à sa guise. Et le bilan de Christian Poveda est extrêmement pessimiste, insistant, de part son montage et la réalité de ce qu’il filme, sur ce schéma sans fin dans lequel cette jeunesse s’est malheureusement enfermée. Donnant à voir leur quotidien, des rites initiatiques à coup de passage à tabac au premier tatouage. Des couples qui se forment en son sein aux multiples enterrements. Des rendez-vous chez le médecin aux allers et retours en prison. Car, dépendre d’un gang signifie avant tout devenir une entité par rapport à une autre, en marquant sur son corps son appartenance à un groupe, se confrontant dès lors à des «ennemis invisibles». Avec froideur, le cinéaste inclut ainsi à son documentaire de nombreuses images quasi insoutenables, des corps criblés de balles au beau milieu d’une rue à la préparation des cercueils. Suivant certaines personnes bien vivantes mais condamnées à être mises en bière par la suite. Conduisant dès lors à des nouveaux embrigadements, qui amèneront à des nouveaux meurtres et ainsi de suite... Et il est bien difficile de s’en sortir quand la société ne nous laisse pas d’autres opportunités et que notre corps porte les marques d’une organisation totalement rejetée. Complètement immergé par son sujet, Christian Poveda livre un film percutant et jamais misérabiliste, portant un regard juste et dur sur ses quartiers salvadoriens et cette jeunesse, vouée à «tuer pour vivre et vivre pour tuer». Un documentaire coup de poing auquel, en octobre, viendra se greffer la fiction, avec le film « Sin Nombre ».

Versus de Rodrigo García
18, 19, 20, 21 y 22 de noviembre 2009
Festival de otoño, Teatro de Rond Point, Paris
25, 26, 27 y 28 de noviembre 2009-10-30 Teatro Garonne, Toulouse
http://www.rodrigogarcia.es/
"1808-2008: mientras haya ejércitos habrá guerrilla". Es una frase que no se le puede escapar a ningún espectador de Versus, el último puñetazo escénico del director teatral Rodrigo García (Buenos aires 1964), con el que el Festival Iberoamericano de Teatro de Cádiz (FIT) ha clausurado el pasado sábado su XXIII edición. Una frase que no sólo aparece en una gran pantalla sobre el escenario, sino que también está dentro de un espectáculo que le ha encargado a este director la Sociedad Estatal de Conmemoraciones Culturales (SECC) para "celebrar" el bicentenario del triunfo español sobre los franceses en la Guerra de la Independencia. "No hay demasiado que celebrar, nunca lo hubo. Una mirada a la historia entera, o lo que creemos saber de la historia, y nos damos cuenta de que el hombre ha hecho poco que sea digno de evocación", dice el director.
Un joven, el que está en Versus, que transita desde la infancia por los territorios de los desposeídos, algo que García conoce bien, y que, como no podía ser de otra manera, le deja hablar en su lenguaje para increpar a los espectadores: "Me gusta trabajar con él porque muestra otra realidad, cuenta otras historias y me parece importante que en Europa se conozca esto", dice este hombre cuyos orígenes cada vez se incorporan más a su teatro: "Al principio no estaba, todo era más experimental, buscaba cosas más formales, pero ahora está mi voz, yo vivía en un barrio de chabolistas, en mi casa no había ni un libro y vengo de un realidad que aún existe y que he tenido que confrontar con algo tan distinto, como es esto de vivir en la opulencia, que es como se vive en España, ignorando que la mayoría de la población mundial, y también aquí, aunque de manera minoritaria, vive en condiciones de mierda".
Los espectáculos de Rodrigo García son una extensión tridimensional de sus pensamientos y su filosofía. En Versus se pregunta si es condición humana que sólo lo vulgar nos atraiga o es un problema de educación. Él deja muy abierta la posibilidad de que sea un asunto de voluntad política el que nos guste o no algo más elevado: "Intento hablar de la educción, de los medios de comunicación y de la voluntad política, porque está globalizada la incultura y el ocio, o la banalización del ocio, porque antes se asociaba a algo elevado, como la lectura, las charlas, y ahora es ir a un centro comercial y pasar allí el día o ir a ver un musical cutre".
(http://www.elpais.com/articulo/economia/anticonmemoracion/Rodrigo/Garcia/elpepueco/20081028elpepueco_4/Tes)

Sin nombre

Cary Fukunaga

“Sans nom”
Mexique, 2009, 1h36 avec Edgar Flores, Paulina Gaitan, Kristian Ferrer ...

« Sin nombre », est l’histoire de la rencontre et de la fuite de Casper, membre d’une cellule mexicaine d’un gang « Mara » et de Sayra, jeune émigrée provenant du Honduras. Casper, âgé d’une quinzaine d’années, est rusé et aguerri aux rouages et aux « procédures » du gang auquel il appartient, dirigé par Mago, dont il est un des hommes de confiance. Mais secrètement, Casper rejoint régulièrement, durant ses heures de « travail », l’amour de sa vie Marta Marlene. Evidemment, nul secret ne le reste très longtemps et la désobéissance de Casper ne tarde à arriver aux oreilles de Mago qui entreprend de le châtier. Ainsi, le mécanisme de la loi du gang se met en branle... Et c’est dans le cercle vicieux de la vengeance que tombe Casper... En « mission de collecte de fonds » sur les trains de marchandises qu’empruntent illégalement les émigrants d’Amérique centrale pour rejoindre la frontière nord-américaine, Casper et Mago tombent sur la famille de Sayra. Casper commet l’irréparable. Désormais poursuivi par sa famille de voyous, Casper va trouver en la personne de Sayra une alliée non voulue, en compagnie de laquelle il va tenter de gagner la frontière américaine...
« Sin nombre » entame son récit par un état des lieux des banlieues pauvres du Mexique. Le spectateur est plongé, à la manière d’un « Cité de Dieu » délocalisé au Mexique, dans le quotidien de ces mareros, qui pratiquent des trafics en tous genres, de rites initiatiques brutaux et souvent amoraux, d’exposition permanente à la mort ; le tout néanmoins largement préféré à la pauvreté de leur condition d’habitants de zone défavorisée. L’autre dimension sociale que donne à voir le film sera bien sûr celle de ces émigrants des pays voisins du Mexique qu’une même précarité pousse à quitter pour rejoindre l’Eldorado américain. Ces hommes et femmes ne reculent devant aucune difficulté, ni aucun danger dont est pourtant bardé le périple à effectuer pour passer la frontière. “Sin nombre” a ainsi beau comporter tous les signes distinctifs du thriller haletant, le travail du réalisateur Fukunaga ne saurait être réduit à cela, et il est vraiment mérité de saluer la performance de ce film qui allie subtilement traitement efficace du genre et retranscription d’une grave réalité sociale. Boris N.

miércoles (21/10), jueves (22/10), viernes (23/10) : 16h, 20h10, 22h05
sabado (24/10), domingo (25/10), lunes (26/10) , martes (27/10) : 12h10, 16h, 20h10, 22h05.

CINEMED : 31ème festival du cinéma méditerranéen

vendredi 23 octobre 2009 20 h 30 Corum - Opéra Berlioz En présence de Alejandro Amenábar. Soirée d'ouverture A. Amenábar Agora Espagne/États-Unis Physique de plage, de Edoardo De Angelis (Italie, 2008) Agora, de Alejandro Amenábar (Espagne/États-Unis, 2009) samedi 24 octobre 2009 10 h 00 Corum - Salle Einstein En présence de Madame Paola Petri. Elio Petri, notes sur un auteur, de Stefano Leone, Federico Baci, Nicola Guarneri (Italie, 2005) 11 h 00 Corum - Espace Joffre 1 En présence de Alejandro Amenábar. Conférence de presse publique avec Alejandro Amenábar, de Cinemed (2009) 12 h 00 Corum - Salle Einstein Ouverture de la compétition documentaires. Documentaires Compétition n° 1 (Maroc) Les Damnés de la mer, de Jawad Rhalib (Belgique, 2008) 14 h 00 Corum - Salle Einstein En présence de Cécile Ravel, Frédérique Devaux, Stève Zourray. Expérimental Panorama n° 1 Carnet de notes 2006-2007, de Cécile Ravel (France, 2008) K (Exil), de Frédérique Devaux (France, 2008) Sarcophage, de Stève Zourray (France, 2009) Chronikon, de Michel Pavlou (Grèce/Norvège, 2008) Silent Frame, de Damir Cucic (Croatie, 2008) Notturno stenopeico, de Carlo Michele Schirinzi (Italie, 2009) Le Silence des yeux, de Simone Durante (Italie, 2008) L'Invasion, de Gonzalo de Pedro Amatria (Espagne, 2009) Strata #2, de Quayola (France/Royaume-Uni, 2009) 14 h 00 Corum - Salle Pasteur En présence de Michel Ciment et Simone Lainé. Michel Ciment, le cinéma en partage, de Simone Lainé (France, 2009) 16 h 00 Corum - Salle Einstein Avant-première France 3 Sud en présence de Laure Pradal. Filmer en région Programme n° 1 Documentaires Le Village vertical, de Laure Pradal (France, 2009) 16 h 30 Corum - Opéra Berlioz Première projection en France, en présence du réalisateur et d'Irène Jacob. The Dust of Time, de Theo Angelopoulos (Grèce, 2008) 17 h 00 Corum - Salle Pasteur Ouverture de la compétition courts métrages. Courts métrages Compétition n° 1 La Virée, de Dalibor Matanic (Croatie, 2009) Larmes dans le café, de Irene Golden , Juan Rivadeneira (Espagne, 2009) Ils se sont tus, de Khaled Benaïssa (Algérie, 2009) On Leave, de Asaf Saban (Israël, 2009) Annie de Francia, de Christophe Le Masne (France, 2009) 18 h 00 Centre Rabelais Ciné-concert, film accompagné au piano par Raphaël Howson. L'Homme à la caméra, de Dziga Vertov (URSS, 1929) 19 h 00 Corum - Opéra Berlioz Avant-première du dernier film de Claude Berri et François Dupeyron. Trésor, de Claude Berri, François Dupeyron (France, 2009) 19 h 00 Corum - Salle Pasteur Ouverture de la compétition longs métrages. Lo spazio bianco, de Francesca Comencini (Italie, 2008) 20 h 30 Corum - Salle Einstein Présentation par Hélène Vayssière, en ouverture de l'Atelier concours de la bande annonce Arte. Filmer en région Programme n° 6 Courts métrages Ecuador, de Estelle Journoud, Benoît Audé (France, 2009) Funérailles, de Subarna Thapa (France, 2008) Où passent les amours… ?, de Guy Simon (France, 2009) 21 h 30 Corum - Opéra Berlioz En présence de Jean-Paul Rappeneau. Cyrano de Bergerac, de Jean-Paul Rappeneau (France, 1990) dimanche 25 octobre 2009 16 h 00 Corum - Salle Einstein En présence de Chantal Marchon. Filmer en région Programme n° 2 Documentaires Jour de parloir, de Chantal Marchon (France, 2009) Une marche en avant, de Jean-François Naud (France, 2009) 16 h 30 Corum - Opéra Berlioz En présence de François Dupeyron. C'est quoi la vie ?, de François Dupeyron (France, 1999) 17 h 00 Corum - Espace Joffre 1 Avec Paola Petri et Jean A. Gili. Table ronde Elio Petri, de Cinemed (2009) 19 h 00 Corum - Opéra Berlioz Soirée en présence de Paola Petri et Jean A.Gili. Copie neuve restaurée par la Cineteca Nazionale de Rome. Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon, de Elio Petri (Italie, 1970) 21 h 30 Corum - Opéra Berlioz Avant-première nationale en présence de Merzak Allouache et de ses comédiens. Harragas, de Merzak Allouache (France/Algérie, 2009) lundi 26 octobre 2009 14 h 00 Corum - Opéra Berlioz Présenté par Pierre Pitiot. Marius, de Alexandre Korda (France, 1931) 16 h 30 Corum - Opéra Berlioz En présence du réalisateur. En attendant le paradis, de Dervis Zaim (Turquie/Hongrie, 2006) 21 h 00 Corum - Opéra Berlioz Avant-première, copie neuve restaurée par la Cineteca Nazionale de Rome. L'Etranger, de Luchino Visconti (Italie, 1967) mardi 27 octobre 2009 10 h 00 Corum - Espace Joffre 1 Atelier-débat avec le scénariste Olivier Lorelle. La Journée du scénario avec Olivier Lorelle, de Le Studio du scénario (2009) 14 h 00 Corum - Opéra Berlioz En présence du scénariste Olivier Lorelle. Indigènes, de Rachid Bouchareb (Algérie/France/Maroc/Belgique, 2006) 14 h 00 Corum - Salle Einstein En présence de Joachim Luxo, Olivier Long et Liliana Resnick. Expérimental Panorama n° 3 San Gennaro, de Joachim Luxo, Olivier Long (Portugal/France, 2008) Territoire occupé, de Claudia Boisserie (France, 2009) X, de Gabriele Agresta (Italie, 2008) Chagrin, de Liliana Resnick (Croatie/Etats-Unis, 2009) Red Star, de Milica Rakic (Serbie, 2009) Un jour en avril, de Claire Walka (France/Espagne/Allemagne, 2009) Résonances, de Ismaïl Bahri (Tunisie/France, 2008) Maesmak, de Georges Salameh (Italie/Grèce, 2008) 17 h 00 Corum - Espace Joffre 1 En présence des réalisateurs Reha Erdem et Dervis Zaim, Fatih Ozgüven, critique, et de Mme Azize Tan, directrice du festival d'Istanbul. Table ronde Renouveau du cinéma turc, de Cinemed (2009) 19 h 00 Corum - Opéra Berlioz Séance organisée en collaboration avec le Club de la presse. Fortapàsc, de Marco Risi (Italie, 2009) 21 h 30 Corum - Opéra Berlioz En présence du réalisateur. My Only Sunshine, de Reha Erdem (Turquie/Grèce/Bulgarie, 2008) mercredi 28 octobre 2009 10 h 30 Corum - Espace Joffre 1 Animé par Thomas Sotinel (Le Monde), modérateur, et de nombreux journalistes. Colloque "la presse et l'Internet", de Cinemed (2009) 14 h 00 Corum - Espace Joffre 1 Animé par Serge Siritzky (Écran Total), modérateur. Colloque "tournage en région"(2009) 14 h 00 Corum - Salle Einstein Dans le cadre de la journée mondiale de l'animation. En présence du réalisateur. 14 h 30 Dessins animés 5 films de Pierre-Luc Granjon Petite escapade, de Pierre-Luc Granjon (France, 2002) Le Château des autres, de Pierre-Luc Granjon (France, 2003) L'Enfant sans bouche, de Pierre-Luc Granjon (France, 2004) Le Loup blanc, de Pierre-Luc Granjon (France, 2006) L'Hiver de Léon, de Pierre-Luc Granjon, Pascal Le Nôtre (France, 2007) 19 h 00 Corum - Opéra Berlioz Avant-première, en collaboration avec le Club de la presse. Prix spécial du jury Un certain regard au dernier festival de Cannes. Les Chats persans, de Bahman Ghobadi (Iran, 2009) 20 h 00 Corum - Salle Einstein En présence de Dora Benousilio, dans le cadre de la Journée mondiale du cinéma d'animation. Dessins animés Hommage à Dora Benousilio Le Thé de l'oubli, de Sandra Desmazières (France, 2008) Une minute au musée, les arts de l'Islam, de Franck Guillou (France, 2009) Le Jardin, de Marie Paccou (France, 2003) Azzedine et Zora la mule - Belles histoires de pomme d'api, de Hoël Caouissin (France) Au premier dimanche d'août, de Florence Miailhe (France, 2000) Lignes de vie, de Serge Avedikian (France, 2002) Maaz, de Christian Volckman (France, 1998) Thé noir, de Serge Elissalde (France, 2008) Le Papillon qui tapait du pied - Histoires comme ça, de Jean-Jacques Prunès (France) 20 h 00 Diagonal Avant-première. Les Contes de l'âge d'or, de Cristian Mungiu, Ioana Uricaru, Hanno Höfer, Razvan Marculescu, Constantin Popescu (Roumanie/France, 2009) 20 h 30 Utopia Avant-première. La Pivellina, de Tizza Covi, Rainer Frimmel (Autriche/Italie, 2009) 21 h 30 Corum - Opéra Berlioz Soirée diversité culturelle présentée par Pierre Murat de Télérama. De l'autre côté, de Fatih Akin (Turquie/Allemagne, 2007) jeudi 29 octobre 2009 16 h 00 Corum - Espace Joffre 1 Présidée par le réalisateur Nabil Ayouch qui a fondé en 2003 la Coalition marocaine pour la diversité culturelle. Table ronde Diversité culturelle, de Cinemed (2009) 16 h 00 Corum - Salle Einstein En présence du réalisateur Yves Montmayeur. Viva la Muerte ! Autopsie du cinéma espagnol fantastique, de Yves Montmayeur (France, 2009) 18 h 00 Centre Rabelais En présence de Nabil Ayouch. Whatever Lola Wants, de Nabil Ayouch (Maroc/France, 2007) 19 h 00 Corum - Opéra Berlioz Soirée cinéma fantastique espagnol. Âmes sensibles s'abstenir. Rec, de Paco Plaza, Jaume Balagueró (Espagne, 2007) 20 h 00 Diagonal Avant-première. Vincere, de Marco Bellocchio (Italie, 2009) 21 h 00 Centre Rabelais Quatre perles, présentées par Samantha Leroy et Emilie Cauquy de la Cinémathèque française. Trésors de la Cinémathèque française 4 films La Cabine, de Bruno Bozzetto (Italie, 1973) Les Derniers hivers, de Jean-Charles Tacchella (France, 1969) Avril, de Otar Iosseliani (Géorgie, 1962) La Fée Printemps, de Segundo de Chomón (France/Espagne, 1902) 21 h 00 Corum - Opéra Berlioz Avant-première en présence de Xavier Gianolli et Emmanuelle Devos. À l'origine, de Xavier Giannoli (France, 2009) vendredi 30 octobre 2009 14 h 00 Corum - Opéra Berlioz Présenté par Nabil Ayouch. 14 h 30 N. Ayouch Ali Zaoua, prince de la rue France/Maroc/Belgique Ali Zaoua, prince de la rue, de Nabil Ayouch (France/Maroc/Belgique, 2000) 16 h 00 Musée Fabre (auditorium) En présence de Amel El Kamel. Expérimental Panorama n° 2 Aquarelles de Split, de Boris Poljak (Croatie, 2009) Chose en fuite, de Mauro Santini (Italie, 2008) Abena, de Amel El Kamel (France, 2008) Moving House 2, de Deidi von Schaewen (France, 2008) Banc populaire italien, de Werther Germondari (Italie, 2008) Video on Demand, de Guli Silberstein (Israël, 2009) Nous avons commencé par mesurer la distance, de Basma Al-Sharif (Egypte/Palestine, 2009) 19 h 00 Corum - Opéra Berlioz Présenté par Emmanuel Mouret, Julie Gayet et Frédérique Bel. Un baiser s'il vous plaît, de Emmanuel Mouret (France, 2007) 20 h 00 Centre Rabelais En présence de Álex de la Iglesia. Un événement en partenariat avec Sci Fi, la chaîne de la science-fiction et du fantastique. Une nuit en enfer 5 films de Álex de la Iglesia Action mutante, de Álex de la Iglesia (Espagne, 1992) Le Jour de la bête, de Álex de la Iglesia (Espagne/Italie, 1995) Mes chers voisins, de Álex de la Iglesia (Espagne, 2000) 800 balles, de Álex de la Iglesia (Espagne, 2002) Perdita Durango, de Álex de la Iglesia (Mexique/Etats-Unis/Espagne, 1997) 20 h 00 Diagonal Avant-première. En présence de Marc Recha. C'est ici que je vis, de Marc Recha (Espagne, 2008) 21 h 30 Corum - Opéra Berlioz Avant-première. En présence de François Favrat et Clovis Cornillac. La Sainte Victoire, de François Favrat (France, 2009) samedi 31 octobre 2009 14 h 00 Corum - Espace Joffre 1 Animée par Yves Montmayeur, en présence de Álex de la Iglesia. Table ronde Nouveau cinéma fantastique espagnol, de Cinemed (2009) 14 h 00 Corum - Opéra Berlioz Le dernier film d'Emmanuel Mouret, en sa présence. E. Mouret Fais-moi plaisir ! France Des câlins dans les cuisines, de Sébastien Laudenbach (France, 2003) Fais-moi plaisir !, de Emmanuel Mouret (France, 2009) 14 h 00 Gaumont Multiplexe Avant-première. En présence de François Favrat et Clovis Cornillac. La Sainte Victoire, de François Favrat (France, 2009) 16 h 00 Corum - Espace Joffre 1 En présence d'Emmanuel Mouret, Frédérique Bel et Julie Gayet. Table ronde Emmanuel Mouret, de Cinemed (2009) 18 h 15 Corum - Salle Pasteur Animée par Patrice Carré. 18 h 30 Cérémonie du Palmarès 20 h 30 Corum - Opéra Berlioz Avant-première. Soirée du Palmarès F. F. Coppola Tetro Argentine/Espagne/Italie Anthropomorphos, de Alessandro Vitali (Italie, 2009) Tetro, de Francis Ford Coppola (Argentine/Espagne/Italie, 2009) dimanche 1 novembre 2009 10 h 00 Corum - Salle Pasteur En ouverture de la Carte blanche à Emmanuel Mouret : 6 films, de 10 h à 20 h. Pleure pas la bouche pleine, de Pascal Thomas (France, 1973) 10 h 30 Corum - Espace Joffre 1 Présentation des films "Un dimanche à Cuba". Table ronde Cinéma cubain, de Cinemed (2009) 20 h 00 Corum - Opéra Berlioz Clôture du 31e Cinemed. Le Fanfaron, de Dino Risi (Italie, 1962)

50 años del ICAIC : Semana del cine cubano.

MONTPELLIER CUBA SOLIDARITE
117 rue des Etats Généraux
34000 Montpellier
Tel : 04 67 22 41 31
Courriel :montp.cubasolidarite@free.fr
MONTPELLIER CUBA SOLIDARITÉ PRÉSENTE
SEMAINE DU CINÉMA CUBAIN

DU 9 AU 15 NOVEMBRE

A l’occasion du cinquantième anniversaire de la création de
l’ICAIC (Institut Cubain de l’Art et de l’Industrie
Cinématographiques), Montpellier Cuba Solidarité propose
une approche des réalités cubaines, à travers des
documentaires et des longs métrages.

Personnalités Invitées :
- Maria Padron : especialista relaciones internacionales à l’ICAIC
- Lourdes de Los Santos : productrice et réalisatrice à l’Icaic.
Son documentaire "Son para un sonero" a reçu le «Premio
cubadisco 2008 al mejor documental»
-Livan Magdaleno : jeune producteur et réalisateur à l’ICRT, il
présentera ses quatre documentaires.
-Francisco Delgado : représentant de l’Icaic à Camaguey, où il
assure la programmation. Critique à la radio et à la TV.

Salles :
CINÉMA DIAGONAL
CINÉMA UTOPIA
SALLE RABELAIS

Programa:
-Lundi 9 novembre. salle Rabelais. 20 h 30.
Panorama du court métrage à Cuba, par Francisco Delgado (Université de
Camaguey)
-Mardi 10 novembre. salle Rabelais. 15 h 30.
«Regards sur la société cubaine»
El futuro es mi sueno, de Belkis Vega. (20 mn) Le combat d’une femme atteinte du Sida,
à travers son engagement social.
Rasgando velos, de Lisette Vila. (17 mn) Des hommes témoignent : comment le Sida a
modifié le sens de leur existence
Rincon, de Cornelius Griep. (15 mn) Le pélerinage au sanctuaire de San Lazaro, au
hameau de Rincon : une des fêtes religieuses les plus populaires, à Cuba.
Kinfuiti, de Niurka Perez. (13 mn) Musiques et danses traditionnelles apportées par les
esclaves congos et que l’on perpétue dans la région de Mariel.
-Mardi 10 novembre.
18 h 30. Maison des Relations Internationales. Inauguration officielle.
20 h. Cinéma Diagonal. La vida es silbar, Fernando Perez, 1998.
Trois personnages aux prises avec des sentiments contradictoires : amour et haine,
promesses, vérité et préjugés.
-Mercredi 11 novembre.
20 h. Cinéma Diagonal. Paginas del diario de Mauricio, Manuel Perez, 2006
Automne 2000. Mauricio a 60 ans. Il se rémémore les événements privés et publics qui
ont marqué sa vie à Cuba, les 12 années précédentes.
-Jeudi 12 novembre.
16 h 30. Salle Rabelais. Les réalisateurs cubains invités rencontrent de jeunes
réalisateurs français et le public.
20 h. Cinéma Utopia. 20 h. Suite Habana, Fernando Perez, 2003
-Vendredi 13 novembre ; salle Rabelais. 15 h 30
Documentaires primés à la 6ème muestra de nuevos realizadores-2007 à La Habana :
Gozar, comer y partir, d’Arturo Infante (25 mn) Trois histoires courtes.
Buscandote Habana, d’Alina Rodriguez (21 mn) L’installation à La havane de
populations venues des provinces orientales de Cuba : leurs conditions de vie, leurs
aspirations, leurs rêves.
De generacion
La cuchufleta (19 mn) L’installation d’un engin rudimentaire de production d’électricité dans
la sierra Maestra.
Vendredi 13 novembre. salle Rabelais. 20 h.
Livan Magdaleno, réalisateur invité, présente ses documentaires récents :
Camaleon ( 19 mn) : réflexion sur la complexité du metissage à Cuba
Guanabo 23 (10 mn) Guanabo, station balnéaire à 23 kms de La Havane, face aux pollutions
diverses.
Nico Rojas arpegios en el camino. (18 mn) Hommage au grand musicien cubain.
Las sombras chinescas de Liborio (30mn) Hommage à trois documentalistes majeurs :
Santiago Alvarez, Nicolas Guillen, Bernabe Hernandez.
-Samedi 14 novembre.
15 h 30. Salle Rabelais : «Musique et identité cubaine»
Lourdes de Los Santos, réalisatrice invitée, présente deux de ses documentaires :
Son para un sonero (55 mn). Hommage à l’un des grands de la musique populaire de l’île :
Adalberto Alvarez.
De mi alma recuerdos (54 mn) Comment est apparue la Nueva Trova à Cuba, ses racines...
18 h. Cinéma Diagonal. El Benny, Jorge Luis Sanchez, 2006
De retour du Mexique, où sa carrière a pris un essor très important, à la fin des années
Quarante, Benny Moré est le chanteur qui a enflammé les foules...
21 h. Espace Jacques 1er d’Aragon.117 rue des Etats-Généraux (Quartier Richter).
Soirée animée par Conjunto Jaleo.
Dimanche 15 novembre . 17 h Médiathèque. Combaillaux.
«Regards sur la société cubaine»

Nace Caracol Verde

Le collectif Caracol Vert vous invite à partager des moments conviviaux autour de la culture hispanophone. Participez à des projets qui vous correspondent : voyages, cafés littéraires, projections de films en espagnol...

Rendez-vous le mercredi 28 octobre à 18h au rez-de-chaussée du bâtiment G pour la projection du film « Carnets de voyage », suivi d'un apéro « tiré du sac » !

Pour plus d'info : caracolverde@hotmail.fr

Diarios de motocicleta


Venez nombreux !

Viajar a Madrid y Barcelona

Si quieres viajar a Madrid o Barcelona desde Montpellier a buen precio, existen soluciones.

Viajar a Madrid
En avión desde Toulouse. Toulouse se encuentra muy cerca en tren, y desde el aeropuerto de Toulouse, hay vuelos frecuentes a destinación de Madrid. El tren te costará unos 40 euros, y el avión unos 100 (pero puede ser menos).
Para pasar un fin de semana o algunos días en la capital, ésta parece ser la fórmula adecuada.

Viajar a Barcelona
Si te apetece más ir a Barcelona, desde Montpellier resulta muy fácil ya que el Talgo vincula el sur de Francia con España. Llegarás a Barcelona en menos de 5 horas y por unos 100 euros como máximo.
Otra solución par ir a Barcelona es coger el autobús. Necesita un poco más de tiempo (unas 6 horas), pero es más barato : 60 euros para una ida y vuelta para un fin de semana. Además, los horarios de los trayectos son más variados y quizás te correspondrá mejor este tipo de viaje.

Con todo esto, España está al alcance de la mano ... y del monedero. Así que sólo falta tomar la decisión de marcharse unos días para que el encuentro con España no se haga únicamente a través de las clases.

Festival de guitarra en Montpellier

Paco Ibañez à Sète au théâtre Molière le Vendredi 09 Octobre 2009 à 20h30 dans le cadre du festival des Internationales de la guitarre.

Festival de guitarra en Montpellier

"Les Internationales de la guitare Gare au gorille"

Si les Internationales de la Guitare se transforment en IG ce n'est pas anodin. En effet, loin d'être seulement un festival de genre dédié aux seuls aficionados du manche, ce mastodonte écrase la rentrée musicale montpelliéraine avec ses 200 concerts éclectiques programmés dans toute la ville et ses multiples animations parallèles. Mais par delà les chiffres, King Kong aime avant tout les femmes, et qu'elles jouent sur la corde raide (Nina Hagen), ou sur la corde sensible (Joan Baez), elles nous passeront toutes la corde au cou. Après, que l'on soit classique (Pavel Steidl) ou moderne (Ojos de Brujo), jeune pousse (Izia) ou vétéran de combat (Calvin Russell), aventuriers sonores (Comelade-Pansanel) ou maître de l'orthodoxie (Custodio Castelo), le gorille a oublié d'être primate et mettra nos sens et nos tympans sans dessus dessous. Chaud devant!

LET'S MOTIV Méditerranée - Numéro 15 - septembre/octobre 2009

http://www.internationalesdelaguitare.com/2009/index.php

Ojos de brujo - Sultanas de Merkaillo